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Raymond Depardon

 
Raymond Depardon. Source: Wikipedia

Raymond Depardon, né le à Villefranche-sur-Saône, est un photographe, réalisateur, journaliste et scénariste français. Réalisateur de film documentaire, il exerce aussi comme reporter et a créé l'agence photographique Gamma en 1966. Il est membre de Magnum Photos depuis 1979.

Il s'est vu décerner plusieurs distinctions dont le Grand Prix national de la photographie, plusieurs Césars du cinéma, le Prix Louis-Delluc, et le Prix Nadar. Il est aussi l'auteur du portrait officiel du président François Hollande.

Biographie

Raymond Depardon découvre la photographie à 12 ans grâce à un appareil 6x6 offert par son frère ; il prend ses premiers clichés dans la ferme familiale du Garet. Un certain Lucien Dune lui transmet son savoir. Après son certificat d'études, il devient apprenti dans une boutique de photographie de Villefranche-sur-Saône avant de suivre par correspondance des cours de photographie et d'installer un petit laboratoire de photographie dans la ferme de ses parents. En , il devient l'assistant du photographe Louis Foucherand à Paris. Mais, en 1959, celui-ci s'associe avec Louis Dalmas pour fonder l'agence Dalmas et il ne peut garder Raymond comme employé ; Depardon devient alors pigiste de cette agence et finit, à force de persévérance, par être reconnu comme photographe : en , alors qu'il n'a que dix-huit ans, Dalmas lui propose de partir au Sahara avec un forfait de 800 francs pour suivre une expédition cherchant à étudier la résistance du corps humain à la chaleur.

En arrivant, l'expédition est confrontée à un fait divers : quelques jeunes appelés du contingent qui, le jour du , étaient partis chasser la gazelle, se sont perdus. Les membres de l'expédition partent à leur recherche, escortés de militaires et de médecins de l'hôpital américain. Ils les trouvent et parviennent à en sauver trois sur sept. Raymond photographie « l'événement ». À leur retour à Tabelbala, d'après Raymond Depardon, le capitaine de la légion le fait appeler dans son bureau et lui demande de lui donner ses films. Il aurait refusé, prétextant les avoir déjà transmis à une autre personne : quelques mois plus tôt, on lui avait appris à l'agence Dalmas qu'il ne devait jamais donner ses films à la police. À son retour, son reportage fait la une de France-Soir et de Paris Match. Raymond Depardon devient alors reporter salarié au sein de l'agence Dalmas.

Photographe et cinéaste

Raymond Depardon couvre ensuite la guerre d'Algérie et la guerre du Viêt Nam, mais aussi des sujets d'actualité, et traque les célébrités comme un authentique « paparazzo ». En 1966, il fonde avec Gilles Caron l'agence Gamma.

Parallèlement à son travail de photographe, il commence à réaliser des films documentaires. En 1969, il filme pour l'agence Gamma la cérémonie en l'honneur de Jan Palach, jeune Tchèque qui s'est immolé par le feu pour protester contre l'invasion de la Tchécoslovaquie. À la demande de Valéry Giscard d'Estaing, il tourne en 1974 un film sur sa campagne électorale. Sa projection est longtemps refusée par le nouveau président de la République. Giscard, qui en a eu, après le montage, quatre projections privées, supporte mal de se voir «au naturel», et ce n'est qu'en que 1974, une partie de campagne est diffusé à la télévision (Arte) et au cinéma. Son titre initial était 50,81 %, le pourcentage des voix obtenu par Giscard d'Estaing à l'élection présidentielle :« Le titre a changé. J'aimais bien le premier, 50,81%... Mais Giscard voulait autre chose. Il a proposé La Victoire en chantant. C'était un peu trop! On s'est mis d'accord: j'ai demandé 1974; il a choisi Une partie de campagne. On a fait un collage: faut faire avec », explique a posteriori Raymond Depardon. Il explique également que, pendant le tournage, Giscard « aimait être seul et détestait les états-majors. Mais il n'oublie jamais la caméra, c'est un grand acteur, un séducteur, un manipulateur. Parfois, je n'arrête pas d'enregistrer alors qu'il croit que c'est fini. Je saisis alors des choses qu'il ne contrôle plus. Tout le film repose sur cela ». Certaines scènes marquent particulièrement les esprits sans être pour autant spectaculaires, comme celle ou Giscard attend seul, dans une salle du Louvre (qui abritait à l'époque le ministère des Finances) les résultats du second tour de l'élection présidentielle. Dans la longue période entre le tournage (1974) et la diffusion (2002), Depardon acquiert par ses travaux une notoriété certaine. Une curiosité se crée naturellement autour de ce documentaire dont l'existence est connue mais que très peu de personnes ont pu voir. Une curiosité renforcée par l'interdiction de le diffuser imposée par Giscard. Le film, que ce candidat espérait sans doute initialement hagiographique et triomphant, montre une campagne électorale avec un futur président qui reste humain, souvent banal, et quelquefois désinvolte. Finalement, Giscard d'Estaing autorise la diffusion.

Dans Numéros zéros, tourné en 1977, Raymond Depardon filme la genèse du premier numéro du Matin de Paris, un nouveau quotidien lancé par Claude Perdriel. Pour se faire plus discret et avoir le moins d'influence possible sur les sujets qu'il filme, il filme sans preneur de son, seul derrière sa caméra avec un micro placé sur la caméra. Depardon doit attendre trois ans pour que Claude Perdriel accepte la diffusion du film qui ne sort sur les écrans français qu'en 1980 après avoir reçu le prix Georges-Sadoul en 1979.

En 1978, Raymond Depardon rejoint l'agence Magnum et quitte l'agence Gamma en 1979. Il se rend en 1979 en Afghanistan où il suit pendant cinq semaines une colonne de maquisards. Ses photos et les textes qui les accompagnent sont publiés sous le titre de Notes chez Arfuyen. En 1981, son film Reporters, où il suit des reporters de l'agence Gamma en action, reste sept mois à l'affiche du cinéma Quartier latin. Il est le directeur de la photographie du film Pékin central de Camille de Casabianca, un des premiers films de fiction tourné par des Occidentaux en Chine..

Marié en 1987 avec Claudine Nougaret, productrice de cinéma, réalisatrice et ingénieur du son, il affirme travailler avec elle à parts égales sur ses films depuis la seconde moitié des années 1980.

Il reçoit le grand prix national de la photographie en 1991.

Après son documentaire Faits divers datant de 1983, Depardon poursuit en 1994 son travail cinématographique sur l'institution judiciaire avec Délits flagrants, qui obtient le César du meilleur documentaire. Puis avec 10e chambre, instants d'audience en 2004 où il filme des audiences du tribunal correctionnel de Paris et pour lequel il est nommé pour le César du meilleur documentaire. Au cours des années 2000, Raymond Depardon commence un travail documentaire sur le monde paysan intitulé Profils paysans. Le premier volet, L'approche, sort en 2001, le second, Profils paysans: le quotidien, en 2005 et le dernier, La Vie Moderne, en 2008. Sa recherche esthétique passe par un travail sur le son avec Claudine Nougaret et Jean-Pierre Beauviala. Le , il est honoré du prix Louis-Delluc pour son film Profils paysans, la vie moderne, pour lequel il est également nommé pour le César du meilleur documentaire.

Début 2006, Depardon expose à la Maison européenne de la photographie à Paris ses portraits de personnalités politiques. La même année, il est le commissaire invité des Rencontres internationales de la photographie d'Arles (37es du nom) du 4 juillet au .

En 2010, il fonde avec Diane Dufour un lieu indépendant consacré à l'image document dans le 18e arrondissement de Paris, Le Bal.

En 2011, il présente La France de Raymond Depardon à la Bnf, une exposition de photos regroupant des clichés, réalisés dans toute la France durant cinq ans, sur ce qui semble des non-sujets, à la fois insolites et banals. En 2012, son film Journal de France, réalisé avec Claudine Nougaret, est présenté hors compétition au festival de Cannes. nommé au césar du meilleur documentaire.

En 2012, le président de la République française, François Hollande, choisit Raymond Depardon pour faire son portrait officiel. Raymond Depardon a réalisé le portrait le dans le jardin du palais de l'Élysée. En 2013, il expose au Grand Palais un choix de photographies intitulées un moment si doux, avec comme commissaire Hervé Chandes et rencontre un grand public. Cette exposition est reprise en 2014 au Mucem avec des vues de Marseille inédites. En , il cosigne une tribune avec d'autres personnalités du monde du spectacle pour dénoncer le « Hollande-bashing » rappelant « tout ce qui a été accompli » notamment « la sanctuarisation du budget de la culture »,.

En , un nouveau film Les Habitants, sort en salle. Il l'a tourné dans un studio mobile (installé dans une caravane), saisissant des «fragments de vie» d'habitants de différentes villes de France rencontrés au hasard de déambulations urbaines, et qu'il invite à terminer leur conversation dans cette caravane. En mai 2017, il présente le film 12 Jours au festival de Cannes, nommé pour le César du meilleur documentaire. Ce film est consacré à des audiences entre des patients internés sous contrainte en hôpital psychiatrique et un juge des libertés et de la détention. Le juge doit statuer sur le prolongement ou non de l'internement. Un tel entretien doit obligatoirement être effectué dans les 12 jours qui suivent ce type d'entrée en hôpital psychiatrique. Ce documentaire se place dans la lignée d'autres œuvres qui avaient déjà marquées les esprits et qui étaient consacrées à d'autres «comparutions», Délits flagrants diffusé en 1994 (montrant des audiences en déféré devant un substitut du procureur), puis, dix ans plus tard, en 2004, 10e chambre, instants d’audience. En octobre 2017, une exposition rétrospective est organisée à la Fondation Henri-Cartier-Bresson. En juillet 2018, l'exposition Depardon USA 1968-1999 est présentée aux Rencontres internationales de la photographie d'Arles, reprenant des photographies effectués aux États-Unis sur plusieurs décennies,. 2019 Mon arbre co-réalisé avec Claudine Nougaret est présenté à la fondation Cartier pour l'art contemporain. En 2022, une exposition, intitulée Son œil dans ma main, est organisée à l'Institut du monde arabe, associant différentes photographies prises en Algérie (ou en Suisse des négociateurs algériens des Accords d'Évian), en 1961 (presque ses débuts comme reporter, envoyé couvrir des moments historiques, les «événements» liés à la décolonisation) puis en 2019, des images commentés par Kamel Daoud.

Œuvre photographique

Un des traits les plus caractéristiques de l'œuvre photographique de Raymond Depardon est la revendication de la subjectivité du photographe et de sa volonté de photographier des «non-sujets», des « temps morts », ce en quoi il se détache de l'école du reportage humaniste à l'européenne de Cartier-Bresson et se rapproche de l'école américaine et des photographes tels que Walker Evans et Paul Strand. Un exemple assez caractéristique est cet ensemble de photographies prises à travars la France, intitulée La France de Depardon, et donnant lieu à une exposition (à la BnF) et à un ouvrage. Le titre choisi rappelle aussi la subjectivité des clichés, qu'il revendique. Un autre ouvrage significatif, le recueil Notes publié en 1979, est composé d'une centaine de photographies accompagnées de textes écrits à la première personne, entre l'exigence journalistique (le monde extérieur) et l'autobiographie (le monde intérieur).

Au cours de l'été 1981, pendant un mois, depuis New York, il envoie chaque jour au quotidien Libération une photo prise à New York, sans lien avec une actualité, accompagnée d'un texte très bref, toujours à la première personne. Le seul impératif est temporel : il est lié à l'heure de bouclage du journal. Raymond Depardon erre dans la ville et se laisse aller aux sollicitations visuelles de l'univers qui l'entoure : fil des rues, rencontres de hasard, personnages côtoyés dans l'exercice de son métier… « temps morts » toujours. Les photos et les notes de ce mois de sont publiées à la fin de l'année sous le titre de Correspondance new-yorkaise avec un texte d'Alain Bergala précisément intitulé Les absences du photographe,. Certaines des images contenues dans ce recueil sont parmi les plus connues de Raymond Depardon. Celui-ci poursuit dans cette voie en 1983 avec Le Désert américain qui lui permet de continuer à se chercher intérieurement tout en poursuivant les fantômes de ses prédécesseurs et le souvenir de Gilles Caron, l'ami prématurément disparu.

Il semble qu'une telle démarche trouve son accomplissement avec Errance qui donne lieu, en 2000, à une exposition et à un nouveau livre. Les photos, toutes verticales, sont réalisées à l'aide d'un appareil moyen format muni d'un objectif fixe. Il va introduire dans ses compositions, en rupture avec la classique règle des 2/3 1/3,une ligne horizontale centrale qui sépare l'image en deux. Pour ce qui est du propos, l'attention au paysage, le plus souvent urbain, est privilégiée, tandis que le texte occupe de plus en plus d'espace. Jamais explicative, souvent sans lien explicite avec les images qu'elle accompagne, la prose de Depardon traite pourtant aussi de l'errance, de la solitude et de la difficulté à se trouver soi-même. Cette prose joue avec le noir et blanc des photos et, très vite, un va-et-vient s'établit entre deux lectures qui influent l'une sur l'autre.

Photographies de personnalités politiques, paru en 2006, se situe dans le droit fil de cette démarche : Raymond Depardon cherche à photographier les personnalités politiques dans l'authenticité de leur action, en y ajoutant son regard : « Montrer la solitude de la personnalité politique est au centre de mon travail ».

Selon lui, l'âge d'or de la photographie politique se situe entre mai 68 et 1982. C'est l'ère de « la photo de contact ». Il voit dans la période actuelle un retour à la tendance « détestable » des débuts de la Ve République avec le contrôle absolu des responsables de la communication. De même, sa photo de Nixon en 1968 ou son documentaire sur la campagne électorale de 1974 de Valery Giscard d'Estaing, avec la liberté dont il jouissait, ne lui semblent plus réalisables désormais.

C'est peut-être pourquoi un de ses travaux lui permet d'affirmer son indépendance vis-à-vis d'un système où il se sent parfois mal à l'aise. Reprenant à son compte un projet auquel il avait collaboré dans le cadre de la mission photographique de la DATAR dans les années 1980, puis envisagé au cours d’une commande en 1998, il parcourt seul la France en camping-car, afin de réaliser un portrait du pays au début du siècle. Pendant cinq ans, entre et , il effectue des sorties qui lui permettent de traverser soixante-cinq départements en cumulant, au total, un an de prises de vue à l’aide de deux chambres grand format. Très peu de personnages dans La France de Raymond Depardon (2010), seulement des lieux aux couleurs très travaillées et une vision qui, pour être personnelle, n'en rejoint pas moins deux traditions : la première est américaine (on pense, bien sûr, à Walker Evans et Paul Strand) ; la seconde est française (certaines pages évoquent, malgré l'emploi de la couleur, Eugène Atget). Par ailleurs, l’empathie qui caractérisait les reportages au Sahel ou en Afrique noire, par exemple, cède la place, le détachement aidant, à un effort de compréhension qui rapproche le film d’une étude sociologique en images, étude dont la sensibilité n'est, toutefois, jamais exclue.

En , Raymond Depardon, présente une grande exposition rétrospective de son travail en couleur depuis la fin des années cinquante jusqu'à aujourd’hui, intitulée Un moment si doux, au musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (MuCEM) à Marseille,. Il y montre 137 photographies en couleur réalisées durant sa carrière, dont 40 spécialement réalisées pour l'exposition au MuCEM, notamment à Marseille, avec un certain nombre de tirages grand format et des séries sur la ferme de ses parents (La Ferme du Garet, près de Villefranche-sur-Saône) dans les années soixante, le Chili en 1971, le Liban en 1978, Glasgow en 1980, le Tchad, l'Éthiopie, pays où il est retourné dans les années 2010, et enfin Marseille en 2014. « En couleur, je cherche moins la belle photo à faire, "le beau Fragonard" comme on disait à Gamma », explique-t-il « Je ne suis plus le même. Mes proches trouvent que ça me ressemble davantage ».

Œuvre cinématographique

Depardon a touché à presque tous les genres du documentaire et réalisé de nombreux films importants, portant son regard humaniste aussi bien au Tchad - son film de 1989, La Captive du désert, met en scène Sandrine Bonnaire dans le rôle de l'archéologue Françoise Claustre, une Française qui fut deux ans et demi otage au Tchad d'Hissène Habré et qu'il interviewa pendant sa captivité - que sur un asile psychiatrique, aux urgences, dans les palais de justice ou sur les problèmes du monde paysan dont il est issu.

Deux de ses premiers films suivent le travail de la presse et de ses fournisseurs : Numéros zéros montre les préparatifs d'un nouveau quotidien, Le Matin de Paris ; Reporters suit pendant tout le mois d' les photographes de l'agence Gamma, entre couverture de l'actualité et chasses aux people pour des clichés de paparazzi.

Filmographie

Publications

Expositions

Liste non exhaustive

Rétrospectives (cinéma)

  • Rétrospective des films de Raymond Depardon à la cinémathèque française, du au
  • Rétrospective des films de Raymond Depardon au cinéma Les 3 Luxembourg, octobre-

Distinctions

  • Chevalier de la Légion d'honneur ().

Principales récompenses

  • 1981 : César du meilleur documentaire pour Reporters
  • 1986 : César du meilleur court métrage pour New York NY
  • 1989 : Prix spécial de l'aide à la création de la Fondation Gan pour le Cinéma pour La Captive du désert
  • 1991 : Grand Prix national de la photographie
  • 1996 : Grand Prix de Yamagata pour Afriques : comment ça va avec la douleur ?
  • 1995 : César du meilleur documentaire pour Délits flagrants
  • 2000 : Prix Nadar
  • 2006 : Globe de cristal du meilleur artiste plasticien
  • 2008 : prix Louis-Delluc pour La Vie Moderne
  • 2010 : Personnalité culturelle de l'année
  • 2017 : prix de la meilleure photographie au Festival international du film francophone de Namur pour le film 12 jours

Nominations

  • 2004 : César du meilleur film documentaire pour 10e chambre, instants d'audience.
  • 2009 : César du meilleur film documentaire pour La Vie Moderne.
  • 2013 : César du meilleur documentaire pour Journal de France.
  • 2018 : César du meilleur film documentaire pour 12 jours.

Annexes

Bibliographie sur Raymond Depardon

  • Claude Racine, « Raymond Depardon : Quand la photo devient fiction en mouvement », 24 images, nos 28-30,‎ , p. 41-44 (lire en ligne)
  • Patrick Roegiers, « Raymond Depardon », dans Neuf entretiens avec des photographes, Paris Audiovisuel, 1989.
  • Frits Gierstberg (éd.), Raymond Depardon: Fotograaf en filmer/Photographer and Filmmaker, Nederlands Fotomuseum/Nederlands Filmmuseum, Rotterdam/Amsterdam, 2005.
  • Olivier Verdun, « Errance de Raymond Depardon », La République des lettres, .
  • Sami Gnaba, « Raymond Depardon : dans les règles de l’art », Séquences : La Revue de cinéma, no 262, 2009, p. 12-13, lire en ligne.
  • Sami Gnaba « Raymond Depardon : questions humaines », Séquences : La Revue de cinéma, no 262, 2009, p. 14-15, lire en ligne.

Filmographie sur Raymond Depardon

Documentaires:

  • Laurent Roth, Les Yeux brûlés (59 min), 1986 (documentaire consacré aux grands reporters de guerre [dont Raymond Depardon qui fait la voix off du film sur la nature de leur travail et leur rôle dans la production des images de guerre ainsi que de leur place au front).

Notes et références

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuel :
    • Africultures
    • AllMovie
    • Allociné
    • Ciné-Ressources
    • Filmportal
    • Film-documentaire.fr
    • IMDb
    • Unifrance
  • Ressources relatives aux beaux-arts :
    • Artists of the World Online
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  • Ressource relative à plusieurs domaines :
    • Radio France
  • Ressource relative à la bande dessinée :
    • BD Gest'
  • Ressource relative à la recherche :
    • Persée
  • La Master class de Raymond Depardon au Forum des images, à Paris le .
  • Palmeraie et désert, société de production de film de Raymond Depardon.
  • Raymond Depardon : Révélateur sur le site de Libération
  • Portail de la photographie
  • Portail de la réalisation audiovisuelle
  • Portail du cinéma français

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Source : Article Raymond Depardon de Wikipédia

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